1001 senteurs se dégagent de cette création contée : fragrances légères et suaves, odeurs lourdes et têtues, nectars sucrés d'un rêve oiseleur...
Les contes se respirent comme autant d'impalpables voyages olfactifs auxquels nous convie Hélène Phung, dans le souvenir des sensations enivrantes de ses nombreux voyages en Orient et dans un subtil mélange de répertoires...
La musique de Jean Claude Guerre au piano, se veut parfum de parole...
Pari insensé que de vouloir conter l'inénarrable : dans ce concert de sensations mêlées, entendrez-vous le bruit des roses ?
« J’ai 3 préférences : le parfum parce-qu’il renferme le secret des femmes, les femmes parce-qu’elles renferment le secret de l’amour, l’amour parce-qu’il est la seule prière de l’univers » - Mahomet